Le codage HTML

HTML

Les bases du codages html

Le code HTML

 

Préambule


Notre objectif est une présentation de la codification HTML. Codification comprise par tous les navigateurs Web et base de tous les sites Web en fonctionnement à ce jour.
Notre ambition est de vous présenter les bases de cette programmation et ainsi, de mettre en avant la simplicité de cette codification.
Nous avons conscience que nous sommes loin d'être exhaustif, mais là n'est pas notre propos.
Il existe des sites et des livres qui sont cent fois plus complet que cette simple page de présentation.

Le Html


HTML est le langage universel utilisé pour communiquer sur le Web. Votre information sera ainsi transportée sur cette gigantesque toile qu'est Internet pour aboutir sur l'ordinateur d'un internaute ou un programme appelé navigateur (ou browser) pourra le décrypter et ainsi afficher les informations. 

Ce logiciel, que l'on appelle un navigateur, vous permet de surfer sur le Net et d'afficher les "pages" lues.
Les plus connus sont Chrome de Google et Internet Explorer de Microsoft mais il en existe d'autres.


  • Chaque navigateur a ses particularité.
    Ce qui fait que vous ne saurez jamais exactement comment sera affichée la page que vous avez conçu sur l'ordinateur de l'internautes visitant votre site.
    ce qui fait qu'avec le HTML, vous n'avez pas la maîtrise totale de la présentation de votre document.

  • Un éditeur de texte suffit pour programmer un site
    En effet, pour ne pas alourdir les lignes téléphonique (au temps de la création du HTML !), support privilégier de cette toile mondiale qu'est Internet, la codification utiliser est tout simplement ce bon vieux code ASCII à 7 bits, c'est à dire sans les caractère accentué !!!.  Ceux-ci faisant l'objet d'une codification spéciale.

     

  • Mais le HTML est un langage simple
    compris par tous les navigateurs existant, quelques soit la plate forme utilisé (windows, mac, linux, etc...)

    En premier vous avez le texte.
    Mais pour pouvoir "contrôler" son affichage, il faut donner au navigateur des instructions TOUJOURS encapsulé entre les caractères < et >

    Par exemple : < TITLE > pour donner le titre de la page, celui qui sera affiché dans le bandeau en haut de la fenêtre de votre navigateur.

    Certaines balises sont simples comme (< TITLE >), d'autres vont nécessiter des paramètres comme < TABLE BORDER="1" WIDTH="650"  > par exemple
     

    Les outils



    Pour écrire du code HTML, vous n'avez besoins que d'un éditeur de texte comme bloc-notes par exemple.
    Nous vous déconseillons d'utiliser un logiciel de traitement de texte comme Word par exemple.
    Heureusement, pour vous faciliter la tâche, il en existe qui comprenne le code HTML et même le codage des langages du net comme le PHP. .
    Leur avantage est qu'il mettre en couleur les balise pour les distinguer du texte.  Cela facilite grandement la frappe.

     

    Le document Html minimum





    < HTML >

    Balise de début d'un document de type HTML.
    < HEAD > Balise de début de la zone d'en-tête
    < TITLE > Balise de début du titre de la page.
    < /TITLE > Balise de fin du titre de la page.
    < /HEAD > Balise de fin de la zone d'en-tête.

    < BODY >

    Balise de début du document proprement dit.
    < / BODY > Balise de fin du document proprement dit.
    < /HTML > Balise de fin d'un document de type HTML.


  • Vous aurez remarqué qu'à chaque balise de début d'une action, soit "< code balise >", auquel correspond, normalement, une balise de fin "< /code balise >".
  • Vous noterez aussi que les balises ne sont pas "case sensitive". Il est donc équivalent d'écrire < TITLE >, < title >, < Title >, etc.

    Le texte


    Toutes pages web est constitué de texte. Les balises HTML vous permette de l'afficher selon la présentation choisie.


    Exemple de formatage de texte


    Affichage

    Balises à utiliser

    Commentaire
    Gras bold < B >...< /B >
    < STRONG >...< /STRONG >
    Début et fin de zone en gras
    Italique italic < I >...< /I >
    < EM >...< /EM >
    Début et fin de zone en italique
    Taille de caractère >font size < FONT SIZE=taille >......< /FONT > Début et fin de zone avec cette taille
    Couleur de caractère font color < FONT COLOR="#codecouleur" >........< /FONT > Début et fin de zone en couleur
    A la ligne line break < BR > Retour à la ligne
    >Commentaires Comments < !-- *** -- > Ne pas traiter (commentaire pour le programmeur)
    Centrage
    < CENTER >......< /CENTER > Centrer



    Exemple de code HTML :

    < HTML >
    < HEAD >
    < TITLE >titre de la page< /TITLE >
    < /HEAD >
    < BODY >
    texte simple

    < B >texte en gras< /B >< BR >
    < STRONG >texte en gras< /STRONG >< BR >
    < I >texte en italique< /I >< BR >
    < EM >texte en italique< /EM >< BR >
    < B >< I >texte en gras et en italique< /I >< /B >< BR >
    < FONT SIZE=5 >texte en taille 5< /FONT >
    < FONT COLOR="#0000FF" >texte en bleu< /FONT >
    < !--Commentaire-- >
    < /BODY >
    < /HTML >

    Ce qui donne :


    texte simple
    texte en gras
    texte en gras
    texte en italique
    texte en italique
    texte en gras et en italique
    texte en taille 5
    texte en bleu



    Les principales balises de texte à connaître
  • Le texte tout simple s'écrit sans balises. Il sera afficher par le navigateur avec la police et taille de caractères selon sa configuration par défaut.
    D'un manière générale, quand vous sélectionnez une police de caractère, celle-ci ne s'affiche que si elle est présente sur l'ordinateur de l'internaute.

  • Le même browser ne tient compte que d'un seul espace entre les mots. Ainsi pour lui :
    < FONT SIZE=5 >texte< /FONT >
    < FONT COLOR="#0000FF" >en bleu< /FONT > est équivalent à :
    < FONT SIZE=5 >texte< /FONT >< FONT COLOR="#0000FF" >en bleu< /FONT >

  • Il n'est pas rare d'utiliser plusieurs balises les unes après les autres. Il vous faut veiller à bien les imbriquer. Ainsi < I >< U >...< /U >< /I > est correct et < I >< U >...< /I >< /U > peut vous créer des surprises.

  • Le navigateur affiche le texte qu'on lui "dicte". Il force un retour à la ligne quand le texte atteint le bord de la fenêtre. Pour rester maitre des retours à la ligne, il vous faut jouer avec la balise : < BR >. Celle-ci représente une action ponctuelle et n'a donc pas besoin de balise de fin.

  • Le tag < BLOCKQUOTE >...< /BLOCKQUOTE > introduit un retrait.
     
  • Vous savez déjà que les navigateurs ne reconnaissent qu'un espace entre les mots. Mais, pour remédier à certaine situation, la balise < PRE >...< /PRE > affiche un texte dit préformaté. Le navigateur affiche donc le texte telle que définit par le concepteur du site.
    Par exemple : < PRE >V o i c i Un Formatage qu i comprends d e s espaces v a r i a b l e s ...< /PRE >
    donne :
    V o i c i Un Formatage qu i comprends d e s espaces v a r i a b l e s ...

     
  • La balise < U >...< /U > souligne le texte.
    Attention, par convention (qui à tendance à disparaitre) un lien dans un texte est écrit en soulignés. Par conséquent, il faut utiliser d'autres méthodes pour mettre en avant des portions de texte. 
  • Les tags < SUB >...< /SUB > et < SUP >...< /SUP > placent le texte respectivement en indice et en exposant. 
  • Pour aligner du texte, on utilise l'attribut ALIGN ou le tag < CENTER >. Il existe une balise permettant d'aligner différents éléments. c'est le DIV :

    < DIV align=left >...< /DIV >
    < DIV align=center >...< /DIV >
    < DIV align=right >...< /DIV >
    < DIV align=justify >...< /DIV >

  • Vous avez ici les principales balises du HTML à connaître pour formater un texte à l'écran. Il existe encore d'autres balises et les évolutions du HTML vont certainement en apporter de nouvelles comme en faire disparaître... mais là, le mieux est d'acquérir un guide du HTML permettant une recherche multicritères. 

    Les titres et les listes


    Comme dans les traitement de texte, il faut pouvoir mettre en place une présentation du texte avec des titres et des listes.

    En voici les principales balises

    Affichage Balises à utiliser Commentaire
    En-têtes Heading < Hn >< /Hn >
    avec n=1 à 6 (H1, H2, ..., H6
    Afficher un titre de niveau n et sauter une ligne
    Liste non-ordonnée Bullet list < UL >< /UL > Afficher le texte sous forme d'une liste non-ordonnée.
    >Liste ordonnée Numbered list < OL >< /OL > Afficher le texte sous forme d'une liste ordonnée.
    Elément de liste List items < LI > Voici un élément de la liste
    Paragraphe >Paragraph < P >< /P > Saut de ligne, insérer une ligne vierge et commencer un paragraphe


    Pour exemple, le code suivant :


    < H1 >Les mois du printemps< /H1 >
    < UL >< LI >avril
    < LI >mai
    < LI >juin< /UL >
    < P >
    < H3 >Les mois d'automne< /H3 >
    < OL >< LI >octobre
    < LI >novembre
    < LI >décembre< /OL >

    Donne pour résultat :


    Les mois du printemps


    • avril
    • mai
    • juin

    Les mois d'automne


    1. octobre
    2. ovembre
    3. décembre




    Quelques commentaires :


    é est l'un de ces caractères spéciaux utilisés pour représenter le é. Les éditeurs Html vous déchargeront de cette corvée.
    Les paragraphes et les en-têtes peuvent s'aligner à gauche, au centre ou à droite.
    < H1 align=left >< /H1 >
    < P align=left >< /P >
    < H1 align=cente r>< /H1 >
    < P align=center >< /P >
    < H1 align=right >< /H1 >
    < P align=right >< /P >


    Les listes peuvent s'imbriquer:
    < H4 >Les 12 mois< /H4 >
    < UL > < LI >Les mois du printemps
    < OL >< LI >avril
    < /OL >< /UL >
       

    Les liens


    Html (Hyper Text Markup Language) est un langage hypertexte qui vous permet en cliquant sur un mot, une image, une portion de d'image, d'aller ailleurs, sur une autre page de votre site, comme sur un  autre site  
    La syntaxe de ces liens est simple : < A HREF="URL ou adresse" >...< /A >
    La complexité vient des option et des variantes.

    Les liens vers un autre site Web

  • >Lien vers un autre site web : "http://serveur/chemin.../fichier"    
  • Lien vers une boîte aux lettre électronique : "mailto:nombal@domaine.ext"    
  • Lien vers un site de téléchargement de fichier : "ftp://serveur/chemin.../fichier"    
  • Lien vers une autre page du site


    Quand on navigue dans un site Web, chaque fois que l'on fait un clic sur un lien, on appel un autre fichier, une image présentes dans le même répertoire, ou dans un répertoire différents.
    L'organisation des répertoires n'étant pas l'objet de cette page, nous n'en diront pas plus.
    Ce qu'il faut retenir c'est que vous avez deux manière de programmer ces liens :
  • En adressage absolu : "file:///lecteur:/répertoire/fichier.htm"
  • En adressage relatif :  "../../../fichier.htm"

  • Nous vous conseillons autant faire ce peut, d'utiliser l'adressage relatif. Celui-ci permet, quand il est bien maîtriser, de transporter assez facilement votre site d'un serveur à un autre. 

    Les Liens dans la même page, à un autre paragraphe.


     

    Les ancres

    Lien vers une ancre dans la même page < A HREF="#azert" >...< /A > Lien vers la cible azert
    dans la même page
    Lien vers une ancre dans une autre page < A HREF="URL#azert" >...< /A > Lien vers la cible "azert" dans une autre page
    Définition d'une ancre < A NAME="azert" >...< /A > Ceci est une cible



    Ces types de liens sont très utiles pour naviguer dans une page contenant beaucoup de texte. Maintenant, reste à voir s'il ne vaudrait pas mieux faire plusieurs pages...  
       

    Les images et le choix du format



    En préambule, il existe plusieurs format d'image. deux sont principalement utiliser sur le web : le GIF et le JPG (prononcer JPEG).
    Des différences existent.
    Nous conseillons, pour les logos, les icônes, les images demandant peu de couleur et n'ayant pas de nuance, d'utiliser le GIF en 256 couleur.
    Dans les autres cas, d'utiliser le JPG (photos par exemple).

    Ceci dit, il faut garder à l'esprit que l'ennemi du Web est la taille des pages (en ko), donc des images.
    Même avec les hauts débits qui se mettent progressivement en place.
    En premier la taille de l'image est prépondérante. Plus elle est "lourde", plus il faudra du temps pour la charger.
    Il n'y a aucun miracle, les kilos (ko) de l'image, il faut les faire passer par "les tuyaux"...... même avec des tuyau en fibre !
    Gagner du poids sur une image diminue sa qualité. Un compromis est à trouver !  
    Et ce n'est pas en changeant de serveur par un encore plus performant que le résultat sera plus nette ou plus rapide car celui-ci va dépendre aussi de la qualité de l'accès internet du visiteur comme de son matériel informatique  

    Liens vers une image

    < IMG SRC="./...../Adresse de l'image" > Pensez à utiliser des adresses en relatif....
    Balise pour mettre un Texte alternatif alt="****" Pour afficher un texte quand la souris passe sur l'image
    width=xxx height=yyy (en pixel) Forcer l'image à s'afficher dans une hauteur et une largeur donné
    border=x (en pixels) Taille de la bordure



    En Html, l'image ne fait pas partie de votre fichier HTML Le navigateur va la chercher à l'adresse indiquée.
    Presque en conséquence logique de ceci, le fait d'utiliser la même image dans un fichier Html ne modifie en rien sa taille totale de la page à charger.
    Une image utilisée sur plusieurs pages ne sera chargée qu'une fois par le navigateur (sauf si vous forcer la ré-initialistion du cache du navigateur)

    Liens à partir d'une image

    < A HREF="fichier.htm" >< IMG SRC="image.gif" >< /A > Pensez à utiliser des adresses en relatif....


    La ligne horizontale


    Le html permet d'insérer dans une page des trait horizontaux comme celui-ci :
       

    La syntaxe

    < HR size=? > Epaisseur du trait en pixels
    < HR width=? (ou %) > Largeur du trait en pixels ou en % de la fenêtre
    < HR color="#rrvvbb" > Couleur du trait selon la codification RVB en hexadécimal
    < HR align=left >
    < HR align=right >
    < HR align=center >
    Alignement gauche
    Alignement droite
    Alignement centré


    Les arrière-plans


    Le langage Html permet d'agrémenter la présentation du document d'un arrière-plan [background] coloré ou composé d'une image. Ce qui apporte un élément "artistique" à votre page.
    La balise à utiliser ne pose pas de problème :
    Pour une couleur d'arrière plan sur toute la page :  < BODY BGCOLOR="#$$$$$$" >
    Ce code peut permettre de donner une couleur d'arrière plan à un tableau ou une case 'un tableau.
    Il existe aussi des balises pour modifier les couleurs utilisées par défaut par le browser pour le texte et les liens.   
    Couleur de texte < BODY TEXT="#$$$$$$" >
    Couleur de lien < BODY LINK="#$$$$$$" >
    Lien visité < BODY VLINK="#$$$$$$" >
    Lien actif < BODY ALINK="#$$$$$$" >
         
    On peut aussi prévoir un fond en image. Cette image (petite de préférence) est affichée en mosaïque par le browser. Attention aux raccords... comme lorsque vous posez du papier peint.
    Texture d'arrière-plan  < BODY BACKGROUND="Adresse de l'image" >  avec bien une adresse en relatif...  

    Les tableaux

     
    En Html, les tableaux servent non seulement à aligner des chiffres mais surtout à placer des éléments à l'emplacement que vous souhaitez. L'usage des tableaux est donc très fréquent.
    Un tableau est composé de lignes et de colonnes qui forment les cellules du tableau.
    Ce qui est à retenir : Si vous savez faire un tableau en HTML, vous savez faire une page web. C'est le premier conseil que j'ai eu quand j'ai fait mon premier site. J'avoue ne pas l'avoir comprise sur l'instant, mais dès la première page faite... en fait chaque page est un ensemble de tableau pouvant être imbriqué les uns dans les autres.

    Les balises de base sont donc :
    Définition du tableau [Table] < TABLE >  < /TABLE > Début et fin de tableau
    Définition d'une ligne [Table Row] < TR >  "codage de la ligne" < /TR > >Début et fin de ligne
    Définition d'une cellule [Table Data] < TD > "contenu de la cellule"  < /TD > Début et fin de cellule
     

    Exemple de codage d'un tableau à deux lignes et deux colonnes.


    < TABLE >
    < TR >< TD >Cellule 1 < /TD >< TD > Cellule 2 < /TD >< /TR >
    < TR >< TD > Cellule 3 < /TD >< TD > Cellule 4 < /TD >< /TR >
    < /TABLE >

    Joindre des bordures

       
    Bordure de cadre [Border] < TABLE border=x >   < /TABLE >
     
     
    Ce qui donne :
     
    cellule 1cellule 2
    cellule 3cellule 4
     

     Il y a encore trois type de codage :   
     
    L'espace entre les cellules ou
    l'épaisseur des lignes du quadrillage
    < TABLE cellspacing=? >
    L'enrobage des cellules ou
    l'espace entre le bord et le contenu
    < TABLE cellpadding=? > 
    La largeur de la table < TABLE width=yyy >
    < TABLE width=xx% >
     

    Les cellules des tableaux


    Nous n'en avons pas fini avec les tableaux. Allons plus loin dans notre étude en nous penchant sur les cellules de ces tableaux.
    Avant toutes choses, les cellules peuvent contenir tous les éléments Html déjà passés en revue soit :
    ·       du texte
    ·       des images
    ·       des liens
    ·       des arrière-plans
    ·       et même des tableaux (eh oui!)
    Bien que l'allure de votre tableaux soit déjà déterminée, chaque cellule est en quelque sorte un petit univers à part qui a ses propres spécifications.
    Découvrons-en les possibilités :  
    Largeur d'une cellule < TD width=? >  en pixels
    < TD width=% >  en pourcentage
    Fusion de lignes < TD rowspan=x >
    Fusion de colonnes < TD colspan=x >
          

    Conclusion

     
    La première question qui va venir est : "Mais à quoi cela va-t-il me servir ? En fait c'est le besoin qui fera que vous vous en servirez ou pas. 
     C'est vrai qu'avec des outils comme WordPress, connaître de codage n'est pas essentiel. Mais, le jour ou vous aurez à faire des pages simples cela vous sera utile et vous permettra d'avoir une présentation de page maitriser.
    Personnellement autant au début je codais chaque page d'un site, autant aujourd'hui c'est très ponctuel. en fait, cette connaissance m'a permis de développer un mini site qui fonctionne en statique sur un simple disque dur de PC. Très utile pour faire un partage d'information au sein d'un service.
      

    Les Balises META

    INTERNET

    Les balises META

    Les Balises META et le référencement



    Introduction


    Véritable outil du concepteur de sites Web, ces balises META feront la différence entre un site d'amateur d'un site de pro

    Les balises META apportent un certain nombre d'information utiles aux moteurs de recherche et autres annuaires pour référencer un site Web.

    Dans la construction de la page, elles sont à insérer entre les balises et .

    Pour voir des exemples de balises META, n'hésitez pas, quand vous êtes sur un site, d'afficher la source.
    Simple, mais efficace pour voir comment les autres ont fait.

    Les moteurs de recherche


    A moins de faire un site à destination unique de vos amis, relations et famille (ce que nous appelons une carte de visite interactive) vous allez avoir besoins des moteurs de recherche pour faire venir les visiteurs sur votre site.

    Vous avez donc un intérêt particulier à soigner le référencement de votre site.

    Le navigateur


    Certaines balises META sont directement interprétées par le navigateur pour, par exemple, charger automatiquement un page Html après x secondes ou forcer le rechargement d'une page sur le réseau bien que déjà présente dans le cache.

    Attention, le code qui fonctionne pour un navigateur, peux n epas fonctionner avec un autre.
    On entre de plein pied dans la compatibilité des navigateurs.


    L'indispensable


    Cela peut paraître simple mais si vous tenez compte de ces éléments, vous avez de forte chances pour que le référencement de votre site soit un succès.
    Ensuite, il faut prendre en compte les particularités des robots, particularités qui changent d'un moteur de recherche à un autre.
    Il existe quelque trucs et astuces. Certains sont expliqués dans cette page, les autres, vous les trouverez dans la lecture de pages Web de la plus part des sites de référencement.


    Les codes META


    < META NAME="keywords" CONTENT="mot-clé1,mot-clé2,mot-clé3," >


    S'il n'en fallait qu'une, ce serait assurément celle-là ! Tous [ou presque] les moteurs de recherche l'utilisent.
    Quelques commentaires s'imposent cependant :
    • Les mots-clés doivent être séparés par une virgule. L'auteur préconise de ne pas mettre d'espaces (bien que cela se rencontre chez des webmestres confirmés) afin d'éviter toute confusion lors des recherches par mot-clé.
    • On parle dans la littérature d'une limitation à 1000 mots-clés. Plus qu'il n'en faut.
    • On conseille aussi de mettre tous les mots clés en minuscules pour éviter les problèmes selon que le moteur de recherche tient compte de la "casse", c’est-à-dire de la différence entre majuscules et minuscules (en anglais « case sensitive » ou non)
    Tout l'art consiste à trouver les bons mots-clés relatifs au contenu de votre site. Mettez-vous à la place de vos lecteurs potentiels. Quels mots, quels synonymes, quelles alternatives peuvent être utilisés pour décrire votre site?
    De grâce, éviter de mettre des mots-clés "bidon" qui sont bien entendu très attirants mais sans rapport avec votre site.
    La tentation est grande de répéter un certain nombre de fois un même mot-clé pour espérer un meilleur classement. Par exemple, < META NAME="keywords" CONTENT="html,html,html,html,html >. Désolé pour vous mais ce truc a vécu et est maintenant pénalisé [spam] par les moteurs de recherche.
     

    < META NAME="description" CONTENT="une description de la page" >


    Cette description sera pertinente, attirante et brève. En effet, selon les moteurs de recherche seuls les 150 à 240 premiers mots seront repris. Bavards s'abstenir.
     

    < TITLE > ... < /TITLE >


    Les moteurs de recherche tiennent fortement compte des titres des documents. Il faut impérativement en mettre sur toutes les pages d'un site. Même pour les pages qui n'apparaissent pas directement comme les sous-pages d'une page de frames !
    On dit également que le fait de reprendre un ou des mot(s)-clé(s) dans le titre de toutes les pages d'un site est très favorable pour un meilleur classement.
     
     

     < META NAME="author" CONTENT="nom de l'auteur"  >


    Cette balise est d'une utilité discutable car rares sont les moteurs de recherche en tiennent compte. A ma connaissance, seul Nomade fournit l'URL du site après avoir introduit le nom de l'auteur.
    Il n'empêche qu'il est d'une légitime fierté de signer son œuvre. N'est-il pas ?
     
    < META NAME="Copyright" CONTENT="Copyright © date nom" >
    Il ne m'importe pas de discuter ici de la valeur juridique et pratique d'une mention de copyright sur le Web. D'autres sites s'en chargent.
    Il me plaît cependant de noter que dans les e-mails reçus, il n'est pas rare que des étudiants ou des formateurs me demandent de pouvoir reproduire tout ou partie de mon site. Une règle élémentaire de la Netiquette est de respecter le copyright. "Le gratuit n'est pas forcément sans valeur".
     

    < META NAME="Distribution" CONTENT="Global ou Local ">


    Cette balise indique la destination de l'information de la page. Soit qu'elle est "Global" et donc destinée à être largement diffusée soit qu'elle est "Local" et donc à diffusion restreinte.
     
     

    <  META NAME="Generator" CONTENT="nom de l'éditeur Html utilisé" >


    Aucune influence, ni pour les moteurs de recherche, ni pour le navigateur utilisé. Cette information intéresse cependant au plus au point les responsables marketing des sociétés proposant des éditeurs Html pour calculer la part de marché de leur produit. Alors, pourquoi pas si cela les amuse...
     
     

    < META NAME="Rating" CONTENT="Destination de votre audience" >


    Permet de définir le contenu de votre site. Les appréciations sont General ou Mature ou Restricted ou 14 years pour respectivement tout public, adulte, accès restreint ou 14 ans.
    Cet indice d'audience n'a aucune influence directe.
     
     

    < META NAME="Robots" CONTENT="instructions pour les robots" >


    Par cette balise vous pouvez indiquez aux robots de recherche automatique si vous souhaitez que votre site soit ou ne soit pas indexé par eux.
    Les instructions sont :
    1. All (défaut) permet aux robots d'indexer vos pages et de suivre les liens hypertextes d'une page à l'autre.
    2. None dira aux robots de ne pas indexer vos pages et de ne pas suivre les liens.
    3. Index indique que vos pages peuvent être indexées par les robots.
    4. NoIndex pour que le robots ne procèdent à aucune indexation.
    5. Follow donne la permission aux robots de suivre les liens hypertextes des pages
    6. NoFollow pour le contraire.
    Exemples :
    < META NAME="Robots" CONTENT="None" >
    < META NAME="Robots" CONTENT="Index,Nofollow" >
    Cette balise est reconnue par tous les robots de recherche automatique.
     
     

    < META HTTP-EQUIV="Content-language" CONTENT="fr" >


     
    Cette balise déclare la langue utilisée dans le document Html. De plus en plus utile, maintenant que des monteurs de recherche anglo-saxons (et non des moindres comme Altavista et Hotbot) ont inclus la langue dans leurs critères de recherche.
     

     < META HTTP-EQUIV="Reply-to" CONTENT="votre adresse e-mail" >


    Cette balise permet au lecteur averti de connaître votre adresse e-mail si elle n'apparaît pas sur la page qu'il consulte (peut-être hors connexion, si elle a été préalablement enregistrée). Finalement, il est peut-être plus utile de donner son adresse électronique que son nom.
     
     

    < META HTTP-EQUIV="Reply-to" CONTENT="URL de votre page" >


    Variante de la balise précédente. Il est parfois utile de rappeler l'adresse de la page d'accueil de votre site pour ceux qui y sont  entrés par une des pages de celui-ci.
     
     

    Attributs éventuels


      A côté des balises META indispensables à un bon référencement auprès de moteurs de recherche, à côté des balises META qu'il est bon d'ajouter pour la bonne information du lecteur, il y a encore celles que vous utiliserez de temps en temps lors de l'élaboration de sites. Parcourons en quelques uns.
     

    Refresh


    Un grand classique du Html (2.0 ?) même si cette balise META n'est que rarement utilisé et alimente les trucs et astuces depuis des années. Cette balise META charge automatiquement la page spécifiée à l'attribut URL après un délai de x secondes.
      < META HTTP-EQUIV="Refresh" CONTENT="x;URL="adresse" >
    Cette balise est fréquemment utilisée pour rediriger automatiquement un visiteur dans le cas où l'adresse de votre site à été modifiée.
     

    Transition


    De très jolis effets de transition style PowerPoint sont possibles avec simplement une ligne de code. Mais autant vous le dire tout de suite, cela ne fonctionne que sous Explorer 4 et plus.
    Le code est :
    < META HTTP-EQUIV="Page-Enter" content="revealTrans(Duration=1.0,Transition=23)" >
    < META HTTP-EQUIV="Page-Exit" content="revealTrans(Duration=1.0,Transition=23)" >
    Quelques explications :
    • Page-Enter et Page-Exit signifie que l'effet de transition se produira à l'entrée de la page ou à la sortie de celle-ci.
    •  Duration détermine la durée de la transition en secondes. Elle est dans l'exemple de 1 seconde. A l'usage, cette durée n'est pas d'une précision absolue.
    • Transition est un nombre de 1 à 23 pour l'effet de transition choisi. Le chiffre 23 donne une transition aléatoire (au hasard). Les autres transitions se répartissent de 1 à 22. Ainsi, 7 ouvre la page de droite à gauche, 17 a le même effet mais en diagonale, 22 découvre la page avec un effet de lignes horizontales aléatoires, etc.
    • Précisons que si ces transitions ressemblent furieusement aux transitions de PowerPoint, elles fonctionneront très bien même si PowerPoint n'est pas installé sur la machine de votre visiteur.
    • Et pour terminer, vous ne verrez les effets de cette transition que lorsque vous entrez dans la page à partir d'une autre page.
     
     

    Expires


    Cette balise META "dit" au navigateur la date à laquelle la page Html doit être considérée comme périmée. Avec Netscape, une requête pour un document dont la date est expirée initialisera une recherche sur le réseau au lieu de prendre la page éventuellement présente dans le cache. Ceci est très utile pour les pages fréquemment mises à jour.
    Exemple :
    < META HTTP-EQUIV="expires" CONTENT="Wed, 23 Feb 1999 10:49:02 GMT" >
    < META HTTP-EQUIV="expires" CONTENT="0" >
    Il faut noter que les robots de recherche peuvent retirer ces pages dites périmées de leur base de donnée.
     
    Pragma
    C'est une autre façon de contrôler le cache du navigateur. Avec ce META, vous pouvez demander au browser de ne pas tenir la page dans le cache.
    < META HTTP-EQUIV="Pragma" CONTENT="no-cache" >
    On rapporte que cela fonctionne sous Netscape mais pas par Explorer...
     
      Trucs et astuces de référencement
    Alors que les balises META font partie du Html, il existe des tas de trucs et astuces - plus ou moins vérifiables ou vérifiés - qui sont sensés améliorer le rang de votre site parmi les centaines renvoyés lors d'une recherche par un mot-clé. Vérité ou rumeur... Je vous laisse seul juge.
     
    Référencez-vous
    Cela peut paraître une évidence mais si vous attendez qu'un robot de recherche vienne visiter votre site, vous risquez de devoir attendre longtemps... Hotbot, le moteur de recherche le  plus complet estime lui-même que sa base de donnée ne reprendrait que 30 à 40% des sites du World Wide Web.
    Alors préparez votre liste des moteurs de recherche, prévoyez quelques heures dans votre emploi du temps et au travail ! Sur la page d'accueil de certain moteur de recherche, vous trouverez "Ajouter un site", "Référencement" ou quelque chose du même acabit. En cliquant sur le lien, vous ouvrirez un formulaire, plus ou moins long, à remplir pour référencer directement votre site.
    N'oubliez pas que certains moteurs de recherche style annuaire (comme Yahoo) se réservent de droit de reprendre ou de ne pas reprendre votre site, qu'il faut compter généralement 2 à 3 semaines avant d'apparaître dans la base de donnée et un bon mois avant que les internautes commencent à s'intéresser à votre site. Patience donc ...
     
    De l'importance des mots-clés
    Pour obtenir un bon classement, il faut non seulement définir ces mots-clés dans la balise < META NAME="keywords" CONTENT="mot-clé1,mot-clé2,mot-clé3,..." > mais il est aussi recommandé :
    1. que le ou les mots-clés soi(en)t repris dans le premier paragraphe de la page.
    2. que le ou les mots-clés soi(en)t repris dans le titre de la page (< TITLE >).
    3. que le ou les mots-clés revienne(nt) plus fréquemment que les autres mots de la page.
     
    Faire une page d'accueil en frames
    Les frames ne sont que modérément appréciés par les moteurs de recherche qui ne les tiennent pas ou difficilement en compte (voir tableau comparatif).
    Souvent, emporté par le désir d'en finir au plus tôt avec ce fichier délicat, on s'empresse d'écrire les balises de frame soit : 
    < FRAMESET ROWS="30%,70%" > < FRAME SRC="A.htm" >
      < FRAMESET COLS="30%,70%" > < FRAME SRC="B.htm" >
      < FRAME SRC="C.htm" > < /FRAMESET >.
    On en oublie les règles les plus élémentaires du référencement.
    On oublie généralement de mettre les balises META, plus que jamais indispensables pour les moteurs de recherche.
    On néglige de mettre un titre, à priori inutile car il n'apparaît pas, aux fichiers liés dans le cadre (ici a.htm, b.htm, c.htm). On perd ainsi, des points précieux pour le classement du site parce qu'il y a des pages sans titre et sans référence au mots-clés dans le titre.
    Les moteurs qui ne suivent pas les liens dans les frames se rabattent sur le contenu des balises < NOFRAMES > ... < /NOFRAMES >.
    Avouez que le classique "Désolé, ce site comporte des frames" ne leur apporte pas grand chose à se mettre sous la dent pour votre référencement ! On conseille de reprendre dans les balises < NOFRAMES > un petit texte descriptif du site (avec si possible un rappel des principaux mots-clés). Le "top" est d'y mette aussi un lien vers les pages principales du site.
     
    Une page d'accueil avec une (ou plusieurs) image
    Il est parfois joli de concevoir une page d'accueil composée d'une seule image que le visiteur doit cliquer pour entrer dans le site. Cette situation est assez inconfortable pour le robot à la recherche de mots-clés car il n'a alors aucun texte (et donc de mots) pour faire son référencement...
    Il importe dans ce cas extrême de reprendre le mot-clé dans l'attribut ALT de la balise de l'image.
    La page d'accueil avec une image mapée
    Pour rappel, les images mapées sont des images découpées en zones. Selon les zones cliquées par le lecteur, celui-ci est dirigé vers une page Html déterminée.
     Il est assez risqué, pour obtenir un bon référencement, de prévoir une page d'accueil qui ne comporterait qu'une image mapée comme seul outil de navigation pour votre site. En effet, beaucoup de moteurs de recherche (et pas de moindres comme Hotbot, Excite, Lycos) ne poursuivent pas leur indexation dans les fichiers d'une image mapée. A réserver donc à d'autres usages à l'intérieur de votre site.
    Cette caractéristique est reprise dans le tableau comparatif des moteurs de recherche plus loin dans notre étude.
     
    Et encore
    Sont ou seraient bénéfiques pour un bon référencement :
    1. le fait que votre site soit référencé par d'autres sites.
    2. le fait que votre site soit mis à jour régulièrement.
     
    Désolé...
    Désolé, mais les trucs suivants ne fonctionnent plus et seraient même pénalisés [spam] par les moteurs de recherche :
    1. texte invisible dans la même couleur que le fond de la page.
    2. texte repris en commentaire (balises ).
    3. les mêmes mot-clé repris indéfiniment dans la balise .
    4. le texte dans l'élément de formulaire (éléments cachés).

    Tableau comparatif
     
    Comparatif de la prise en compte des balises META et des particularités de référencement des cinq plus grands moteurs de recherche anglo-saxons.
     
    Prise en compte
    AltaVista
    Hotbot
    Excite
    Infoseek
    Lycos
    Longueur du titre (mots)
    78
    115
    70
    70
    60
    Si le titre est absent...
    No title
    Url de la page
    Untitled
    Premiers mots de la page
    Premiers mots de la page
    Longueur de la description
    150
    249
    170-240
    395
    135-200
    Balises META retenues
    mots-clés description
    mots-clés description
    description
    mots-clés description
    aucunes
    Balise ROBOTS
    Oui
    Oui
    Oui
    Oui
    Oui



    Prise en compte
    AltaVista
    Hotbot
    Excite
    Infoseek
    Lycos
    Texte de ALT des images
    Oui
    Non
    Non
    Oui
    Oui
    Texte en commentaire
    Non
    Oui
    Non
    Non
    Non
    Texte invisible
    Non [spam]
    Non [spam]
    Oui
    Non [spam]
    Non [spam]
    Frames
    Oui
    Non
    Non
    Non
    Non
    Images mapées
    Oui
    Non
    Non
    Oui
    Non
    Liens dans d'autres sites
    Non
    Oui
    Oui
    Non
    Oui
    >Date
    Ouitd>
    Oui
    Non
    Oui
    Non
    Mises à jour
    Oui
    Oui
    Non
    Non
    Oui

    Les règles d’Or de la Conception Graphique

    INTERNET

    Les règles d’Or de la Conception Graphique

    Les règles d’Or de la Conception Graphique »

     

    Gardez ces règles en tête, c’est assurer une meilleure visibilité à votre site Web.

    • Allégez la taille des fichiers images. Même si les raccordement sont de plus en plus performant, l’internaute souhaite que les pages du site visité s’affiche « rapidement ».
    • Utilisez le graphisme pour construire le site. Pas pour faire beau. Cela alourdit le chargement et l’inconfort de l’utilisateur. Le graphisme donne une identité au site mais ne doit pas alourdir la navigation.
    • Réutilisez les mêmes graphismes. Le navigateur les a en mémoire, ce qui évite de les rechargez à chaque page, donc de gagnez tu temps sur le chargement d’une nouvelle page.
    • Pensez à ceux qui n’ont pas d’ordinateur performant. Privilégier l’utilisation des 256 couleurs de base pour le graphisme du site.  Vous saurez sur que le site sera présenté selon vos souhait et non pas « déformer » par ‘ordinateur de l’internaute.
    • Ne saturer pas la page d’animation diverse et varié. Un GIF animé, c’est sympa, plusieurs dizaines c’est énervant. Voyez votre réaction sur les site qui vivent de la publicité et en mette dans tous les coins.
    • Donnez des légendes à vos images. Cela permettra, pour ceux qui ont désactivé l’affichage des images dans leur navigateur, d’en connaître le thème. De plus, certain moteur de recherche utilise ses légende dans leur indexation.
    • Pensez à ceux qui utilisent encore d’anciennes versions de navigateur. N’hésitez pas à installer plusieurs navigateur sur votre PC pour tester la présentation de votre site.

    Ces règles sont simples, voir à l’encontre de ce que l’on peut faire aujourd’hui.
    Mais à trop sophistiquer son site, on peux aboutir au contraire de l’objectif initial, c’est à dire avoir un site visible uniquement d’Internautes ayant un matériel de pointe ou une connexion internet très haut débit.

    Prenez exemple sur ces plates-formes d’audience mondiale comme AMAZON, FACEBOOK, ALIBABA… le graphisme est « simple » et les page s’affichent à une vitesse incroyables.

    L’important n’est pas le temps que restera un visiteur sur votre site, mais qu’il y trouve ce qu’il recherche.

     

    Brève Présentation d’Internet

    INTERNET

    une brève présenation d’internet

     

    En premier, il faut distinguer deux composants qui ont tendance à se confondre : le hard et le soft. Le hard composé des liaisons, des serveurs et des protocoles d’interconnexion et le soft, les langages qui permettent la navigation sur le réseau des réseau.

    Le réseau matériel est apparu très tôt vers les années 1950-1960 sous l’impulsion de l’armée américaine qui avait besoin à l’époque d’un réseau de communication fiable, modulaire et -indestructible.

    Pour ce faire, il était fondé sur une communication en forme de toile d’araignée à redirection dynamique. Pour paralyser ce réseau, il faudrait détruire un nombre impressionnant de nœuds et de liaison, et encore, sans certitude de succès.

    Ce réseau à usage exclusivement militaire, développé avec les universitaires, a très vite intéressé les universités et administrations, qui ont utilisées ce système et ont contribué à son expansion.

    On peut donc dire que l’internet est un énorme regroupement de plusieurs dizaine de millier de réseaux tous interconnectés entres eux. Cet ensemble est connu sous le nom générique d’internet.

    Tout ces réseaux ont en commun le langage I.P. (Internet Protocol), qui leur permet de s’interconnecter et d’avoir une possibilité d’adressage des entres elles. Sur cette base de communication toutes sortes d’informations étaient acheminées. N’oublions pas qu’à ‘époque seul le mode texte était disponible. En effet, nos environnements graphiques ne sont apparus et ne se sont standardisés que beaucoup plus tard. Grâce notamment à l’augmentation en puissance des ordinateurs.

    Le paysage informatique original se limitait donc à des logiciels et des protocoles de transfert exclusivement textuels, d’où l’apparition du FTP, GOPHER, WAIS, TELNET, etc.

    L’interface actuelle, entièrement graphique que nous connaissons, le World Wide Web, n’est apparue au début des années 90 sous l’impulsion de chercheurs du CERN (Organisation Européenne sur la Recherche Nucléaire).

    l’évolution de l’information transportée sur l’internet

    La vision actuelle de ce que l on peut trouver sur l’internet masque complètement l’historique de son développement. Les modes de visualisation graphique au travers des browsers permettent une visualisation agréable et très fonctionnelle de l’information désirée. Toutefois, comme nous l’avons dit précédemment le mode graphique n’est arrivé que très récemment dans l’histoire de l’internet, celui-ci n’étant qu’une facilité à l’accès à l’information et non pas originellement une finalité.

    L’objectif initial des réseaux qui ont composé peu à peu l’internet était principalement de transférer de l’information qui à l’époque se présentait sous forme de fichiers binaires ou textes de structure relativement simple en comparaison des fichiers évolués que nous traitons actuellement (on peut prendre l’exemple des fichiers graphiques, vidéos ou sons qui utilisent des techniques de compression très poussées) et que nous demandons à l’ordinateur de nous amener et visualiser quasi en temps réel. Les données transférées ont subi une immense évolution tant en terme de volume que de contenu ; et nos exigences tant en terme de vitesse que de résultat obtenu ont également énormément évolué.

    Nous sommes donc passés du transfert de fichiers souvent assez légers en termes de poids et d’exigences dans la vitesse du transfert (si ce n’est sa fiabilité), à une nécessité de transférer des fichiers très lourds qu’il faut pouvoir visualiser en temps réel au fur et à mesure de leur réception.

    Les protocoles de transfert qui répondaient aux besoins initiaux étaient tous en ligne de commande et très rébarbatifs dans l utilisation quotidienne.

    On peut citer :
    le FTP (File Transfert Protocol) dédié au transfert de fichiers d un point à un autre
    le TELNET qui permet de se connecter sur une machine distante et d y exécuter des programmes et des commandes
    le RLOGIN
    le RSH
    le GOPHER etc.

    Tous ces protocoles sont extrêmement puissants mais difficilement abordables pour un néophyte ou une personne n ayant pas une connaissance des systèmes UNIX.

    L apparition dans les années 90 du protocole HTTP (Hyper Text Tranfert Protocol) et de son interfaçage par des browsers a permis de concevoir différemment l’accès à l’information. En effet, jusque là, soit l on récupérait un fichier pour le visualiser ultérieurement, soit l on se connectait à des bases de données en ligne (de commandes sans faire de jeux de mots) afin de trouver cette même information, mais trouver cette information restait délicat et l information en elle-même restait sous une forme peu pratique.

    Le protocole HTTP et son langage associé le HTML (Hyper Text Markup Langage), ont permis de réviser complètement l’accès à l’information pour deux raisons principales :
    Visualisation directe du contenu des fichiers sans les télécharger intégralement au préalable avec une présentation assez évoluée qui rend cette information agréable
    Passage d’une information à une autre au moyen des liens hypertextes qui facilitent énormément tant le cheminement intellectuel que le lien des informations entre elles.

    Depuis l’émergence des navigateurs, leurs capacités n’ont cessé de croître. On est passé d’outils permettant la visualisation de textes agrémentés de simples illustrations à des programmes permettant de visualiser de la 3D, d écouter du son et d’avoir une réelle interactivité avec le contenu des pages.

    On a donc un accroissement significatif de la taille moyenne des pages générées.

     

    L’évolution des types de raccordements à l’internet

    L’internet est un réseau qui regroupe de nombreux réseaux locaux qui font transiter de l’information en règle générale sur toutes sortes de liaisons (câble réseau, liaisons louées, transmissions radio, transmissions lasers, satellite, RNIS, DSL, …) ; les réseaux locaux utilisent de toute façon en général de hauts débits.

    Les liaisons entre ces différents sous-réseaux sont également assez satisfaisantes en terme de débit. Le schéma actuel de raccordement des particuliers inclut des liaisons téléphoniques à très bas débits par l’intermédiaire de modems (modulateur – démodulateur) ou parfois mieux de lignes Numéris (RNIS). Ces connections originellement prévues pour transférer du texte pur ou des fichiers très légers s avèrent actuellement juste suffisantes pour la visualisation des documents disponibles sur le Web qui incluent des images fixes et animées ainsi que du son. Toutefois des choix technologiques judicieux et un contenu raisonnable de ces pages permettent une navigation encore confortable. Il faut toutefois noter que les liaisons modem et Numéris ont des vitesses croissantes qui permettent de plus en plus de choses, et les nouvelles technologies qui pointent à l’horizon permettent d’être optimiste. En effet, de nouvelles liaisons s’offrent aux particuliers comme l’utilisation des satellites à l’aide d’antennes personnelles pour des sommes raisonnables et surtout l’arrivée des câblo-opérateurs ou des liaisons ADSL qui vont proposent déjà des liaisons rapides sans coûts de connexion horaire mais avec simplement un abonnement mensuel. On peut donc envisager une explosion du nombre de personnes raccordées à l internet du fait de la qualité des liaisons à venir et de leur très faible coût. Les entreprises, quant à elles, ne sont pas en reste car elles peuvent dès maintenant accéder avec confort à l internet par l’intermédiaire de Numéris ou de liaisons spécialisées dont les coûts sont de plus en plus raisonnables. Elles deviennent donc consommatrices et fournisseuses d informations, et ce de façon de plus en plus active en France et dans le monde, leurs apparitions pouvant être mesurées par le nombre sans cesse croissant de domaines créés.

    Panorama de l’information disponible sur l’internet

    On peut résumer en une phrase l’aboutissement actuel de l’information disponible sur l’internet : Si ça existe, c est sur l’internet

    Cette phrase peut paraître exagérée, mais il est certain que la masse de données actuellement disponible résulte de son développement progressif depuis les origines de l’informatique et que nous sommes confrontés à l’accumulation des données produites et portées sur informatique durant les 40 dernières années.

    Il en résulte que d’après les dernières estimations à raison d une page d information visualisée par seconde, une vie d’homme ne suffirait pas à parcourir l’intégralité des données disponibles sur l’internet.

    Ces informations touchent tous les domaines de la pensée humaine que l’on trouve traditionnellement dans une bibliothèque. Mais ces formes sont beaucoup plus variées grâce à l’évolution des navigateurs qui permettent de présenter du texte, du son, de l image et de la vidéo avec de l’interactivité pour toutes ces formes de données

    Ces formes de communication sont radicalement différentes de celles que nous connaissons habituellement du fait de leur réelle interactivité avec l’utilisateur final. Celui-ci est à même de sélectionner l’information d une manière nouvelle par des outils de recherche (en fait, d immenses bases d indexation des données disponibles) et l’utilisation de l’hypertexte qui facilite le cheminement d une information à une autre.

    Dès lors, l’information finale ainsi trouvée va être enrichie puisqu’elle pointe elle-même sur d’autres informations pertinentes par le biais de l’hypertexte.

    De plus, elle pourra contenir également des images, tant statiques que mouvantes, des musiques ou sons pertinents, des images calculées de façon contextuelle en rapport avec les actions de l’utilisateur et l’interaction de l’utilisateur avec ces données par le biais de formulaires de saisie

    Un autre avantage de cette forme de documents est qu’elle permet non seulement une interaction en temps réel, mais apporte aussi un système différé au travers de la messagerie électronique (MAIL).

     

     

    Internet : Bref historique

    INTERNET

    L’origine
    d’internet

     L’histoire complète de l’internet peut être trouvée dans de nombreux documents disponibles sur le net, nous n’aurons donc pas la prétention d’établir ici un historique exhaustif et d’une précision sans faille ; le but de cette introduction est uniquement de vous simplifier la compréhension générale de son implantation.

    Il faut discerner deux choses différentes qui ont tendance à se mélanger dans les esprits actuellement, est-ce à dire le réseau matériel proprement dit, et son interface dominante, le World Wide Web.

    Le réseau matériel est apparu très tôt vers les années 1960-1970 sous l’impulsion de l’armée américaine qui avait besoin à l’époque d’un réseau de communication fiable, modulaire et quasi-ininterruptible dans l’ambiance de guerre froide qui régnait à cette période. L’ARPA (Advanced Research Project Agency) décida de mettre sur pieds son réseau ARPAnet.

    Ce réseau était conçu pour résister à une attaque nucléaire, ou une catastrophe naturelle, et permettre une communication ininterrompue entre les différentes bases militaires. Pour ce faire, il était basé sur une communication en forme de filet à redirection dynamique, ce qui en cas de destruction de nombreuses liaisons permettait toujours à l’information d’arriver à destination du moment qu’il restait quelque part une liaison possible. Le réseau ne devait avoir aucun point névralgique (central ou déporté) dont l’arrêt ou le dysfonctionnement aurait pour conséquence le blocage total du réseau. Les données transitant par le réseau devaient pouvoir être re-routées automatiquement vers un autre canal en cas de problème sur une partie du réseau.

    Le Département de la Défense (le DoD) fut secondé pour son élaboration par les grandes universités américaines. Ces derniers imaginèrent et développèrent les protocoles de transmission. Ce réseau à usage exclusivement militaire a très vite intéressé les universités qui ont calquées le système et ont contribuées à son expansion. De nombreuses autres sociétés et administrations se sont peu à peu greffées à ce réseau initial. On peut donc dire que l’internet est un énorme regroupement de sous-réseaux qui s’interconnectent, sachant que de ses deux réseaux originaux on arrive actuellement plusieurs milliers de réseaux interconnectés sous le nom générique d' »internet ».

    Il ne faut pas se faire de fausses idées sur l’apparence de ce réseau initial : tous ces réseaux avaient en commun un langage en sous-couche le TCP/IP (Transmission Control Protocol/Internet Protocol), qui leur permettait de s’interconnecter et d’avoir une possibilité d’adressage des machines sur le réseau gigantesque ainsi créé. Sur Internet les frontières et le temps n’existent plus, il est aussi simple et aussi rapide de se connecter à une centaine de mètres de son ordinateur qu’à des milliers de kilomètres, et pas besoin de passeport ou de visa pour faire le tour du monde. Sur cette base de communication toutes sortes d’informations étaient acheminées, mais n’oublions pas qu’à l’époque le mode texte était dominant (voir seul existant), en effet, nos environnements graphiques ne sont apparus et ne se sont standardisés que beaucoup plus tard. Le paysage informatique original se limitait donc à des logiciels et des protocoles de transfert exclusivement textuels, d’où l’apparition du FTP, GOFFER, WAIS, TELNET, etc.

    L’interface actuel totalement graphique que nous connaissons, le World Wide Web, n’est apparu sous l’impulsion de chercheurs du CERN qu’en 1990 sur un ordinateur NeXT Cube, qui du fait d’un environnement de programmation très évolué (Interface Builder sur NeXTStep) a permis la création du premier Browser (navigateur en français) qui enfin donnait une interface graphique aux systèmes de transfert d’informations qui étaient déjà disponibles.
    La vision actuelle de ce que l’on peut trouver sur l’internet masque complètement l’historique de son développement ; les modes de visualisation graphique au travers des browsers permettent une visualisation agréable et très fonctionnelle de l’information désirée. Toutefois, comme nous l’avons dit précédemment le mode graphique n’est arrivé que très récemment dans l’histoire de l’internet, celui-ci n’étant qu’une facilité à l’accès à l’information et non pas originellement une finalité.

    L’objectif initial des réseaux qui ont composé peu à peu l’internet était principalement de transférer de l’information qui à l’époque se présentait sous forme de fichiers binaires ou textes de structure relativement simple en comparaison des fichiers évolués que nous traitons actuellement (on peut prendre l’exemple des fichiers graphiques, vidéos ou sons qui utilisent des techniques de compression très poussées) et que nous demandons à l’ordinateur de nous amener et visualiser quasi en temps réel. Les données transférées ont subit une immense évolution tant en terme de volume que de contenu ; et nos exigences tant en terme de vitesse que de résultat obtenu ont également énormément évoluées.

    Nous sommes donc passés du transfert de fichiers souvent assez léger en termes de poids et avec peu d’exigences dans la vitesse du transfert, si ce n’est sa fiabilité, à une nécessité de transférer des fichiers très lourds et de pouvoir les visualiser en temps réel au fur et à mesure de leur réception.

    Les protocoles de transfert qui répondaient aux besoins initiaux étaient tous en ligne de commande et très rébarbatifs dans l’utilisation quotidienne; ont peut citer le FTP dédié au transfert de fichiers d’un point à un autre, le TELNET qui permet de se connecter sur une machine distante et d’y exécuter des programmes et des commandes, et en vrac : RLOGIN, RSH, GOPHER, etc. Tout ces protocoles sont extrêmement puissants mais difficilement abordables pour un néophyte ou une personne n’ayant pas une connaissance des systèmes UNIX. L’apparition dans les années 90 du protocole HTTP et de son interfaçage par des browsers a permis de concevoir différemment l’accès à l’information ; en effet, jusque là soit l’on récupérait un fichier pour le visualiser ultérieurement, soit l’on se connectait à des bases de données en ligne (de commandes sans faire de jeux de mots) afin de trouver cette même information, mais trouver cette information restait délicat et l’information en elle-même restait sous une forme peu pratique. Le protocole HTTP et son langage associé l’HTML, ont permis de réviser complètement l’accès à l’information pour deux raisons principales : on visualise directement le contenu des fichiers sans les télécharger intégralement au préalable avec une présentation assez évoluée qui rend cette information agréable, et l’on peut passer d’une information à une autre au moyen des liens hypertextes qui facilitent énormément tant le cheminement intellectuel que le lien des informations entre elles.
    Depuis l’émergence des browsers, leurs capacités n’ont cessé de croître, on est passé d’outils permettant la visualisation de textes agrémentés de simples illustrations à des programmes permettant de visualiser de la 3D, d’écouter du son et d’avoir une réelle interactivité avec le contenu des pages. On a donc un accroissement significatif de la taille moyenne des pages générées.
    L’internet est un réseau qui regroupe de nombreux réseaux locaux qui font faire transiter de l’information en règle générale sur de l’Ethernet coaxial ou RJ45 à 10/100 Mbs, bien que d’autres types de liaisons soient utilisées (câbles téléphoniques, transmissions radio, transmissions lasers, satellite) ; les réseaux locaux utilisent de toutes façons en général de hauts débits. Les liaisons entre ces différents sous-réseaux sont également assez satisfaisante en terme de débit. Le schéma actuel de raccordement des particuliers inclus des liaisons téléphoniques à très bas débits par l’intermédiaire de modems ou parfois mieux de lignes Numéris. Ces connections originellement prévues pour transférer du texte pur ou des fichiers très légers s’avèrent actuellement juste suffisantes pour la visualisation des documents disponibles sur le Web qui incluent des images fixes et animées ainsi que du son. Toutefois des choix technologiques judicieux et un contenu raisonnable de ces pages permettent une navigation encore confortable ; il faut toutefois noter que les liaisons modems et Numéris ont des vitesses croissantes qui permettent de plus en plus de choses, et les nouvelles technologies qui pointent à l’horizon permettent d’être optimiste. En effet, de nouvelles liaisons s’offrent aux particuliers comme l’utilisation des satellites à l’aide de paraboles personnelles pour des sommes raisonnables et surtout l’arrivée des câblo-opérateurs qui vont proposer dans les mois à venir des liaisons ultrarapides sans coûts de connexion horaire mais avec simplement un abonnement mensuel. On peut donc envisager une explosion du nombre de personnes raccordées à l’internet du fait de la qualité des liaisons à venir et des baisses répétés des coûts de connexion.

    Les entreprises quant à elles ne sont pas en reste car elles peuvent dès maintenant accéder avec confort à l’internet par l’intermédiaire de Numéris ou de liaisons spécialisées dont les coûts sont de plus en plus raisonnables. Elles deviennent donc consommatrices et fournisseuses d’informations, et ce de façon de plus en plus active en France et dans le monde, leurs apparitions pouvant être mesurées par le nombre de domaines créés sans cesse croissant.

    On peut résumer en une phrase l’aboutissement actuel de l’information disponible sur l’internet : « Si ça existe, c’est sur l’internet. »

    Cette phrase peut paraître exagérée, mais il est certain que la masse de données actuellement disponible résulte de son développement progressif depuis les origines de l’informatique et que nous sommes confronté à l’accumulation des données produites et portées sur informatique durant les 40 dernières années. Il en résulte que d’après les dernières estimations à raison d’une page d’information visualisée par seconde, une vie d’homme ne suffirait pas à parcourir l’intégralité des données disponibles sur l’internet.

    Ces informations touchent tous les domaines de la pensée humaine que l’on trouve traditionnellement dans une bibliothèque. Mais ces formes sont beaucoup plus variées du fait de l’évolution des browsers qui permettent de présenter du texte, du son, de l’image, de la vidéo, et même de l’interactivité pour ces formes de données. Ces formes de communication sont radicalement différentes de celles que nous connaissons habituellement du fait de leur réelle interactivité avec l’utilisateur final ; celui-ci est à même de sélectionner son information d’une façon nouvelle par des outils de recherche (en fait, d’immenses bases d’indexation des données disponibles) et par l’utilisation de l’hypertexte qui facilite le cheminement d’une information à une autre. Dès lors l’information finale ainsi trouvée va être enrichie de part le fait qu’elle pointe elle-même sur d’autres informations pertinentes par le biais de l’hypertexte, et de plus elle pourra contenir également de l’image tant statique que mouvante, des musiques ou sons pertinents, de l’image calculée de façon contextuelle en rapport avec des actions de l’utilisateur, et également lui permettre d’interagir avec ces données par le biais de formulaires à remplir. Un autre avantage de cette forme de documents est qu’elle permet non seulement une interaction en temps réelle, mais apporte aussi un système différé au travers de la messagerie électronique (MAIL).

    Une autre vision

    Le réseau internet est donc un outil de communication et documentaire fantastique, mais il ressort de tout cela un seul point noir : son immensité. Le problème n’est finalement pas tant d’y accéder ou d’y être présent, mais bel et bien de trouver l’information que l’on cherche ou d’être trouvé. La force de l’internet est également sa faiblesse, le fait que ce soit un conglomérat « spontané » et « anarchique » de réseaux le rend extrêmement dynamique et riche, mais le rend également inextricable. Il est clair qu’il n’y a pas d’organisme centralisateur à qui se plaindre, ou à qui demander de l’aide, et c’est très bien ainsi. Une fois qu’on l’a compris, et que l’on saisit la richesse que cela apporte, il faut savoir s’adapter et oublier tout ce que l’on a appris traditionnellement en communication.
    Il faut bien réaliser que la communication sur l’internet est un retour au bouche à oreille, au comportement intimiste du village de campagne, à une vision bouleversante pour la communication traditionnelle. Rien dans les développements traditionnels de la communication d’entreprise ne peut préparer au comportement des internautes, et si l’on se contente déporter les stratégies marketing brutalement sur le net, on va droit à un échec cuisant ou dans le meilleur des cas à un succès d’estime